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Réunion des GJ de l’ESR 25 oct. 2019 === ### **Présent.e.s :** Gilles CR Réunion des GJ de l’ESR du 25 oct. 2019 14 Présents  BONTEMPS Véronique CHELLY Luc DESROSIERS Sophie DRESSEN-VAGNE Marnix FARBIAZ Patrick GRIBAUDI Maurizio GUILLAUME Christiane JEANMOUGIN Marc LONG Olivier MARTINET Gilles MOREIGNE Marc NIER Benoit SVOBODA Céliane, TETU Marie-Thérèse .... :::info ### :scroll: ordre du jour 1 - les questions soulevées par Maurizio, Michèle et Marc Jeanmougin sur la gestion de la liste 2- Redéfinition des objectifs du collectif et de ses modalités de travail collectif 3 - Précision des éléments portés à l'Assemblée des Assemblées 4 - Suite de la campagne contre la privatisation d'ADP dans les facs 5- Réflexions sur la réalisation de nouvelles Tribunes : campagnes des municipales, convergence des mouvements écologistes et anticapitalistes (rédaction d'une tribune ?) ::: ### :+1: sur les questions soulevées par Maurizio, Michèle et Marc J. **Véronique** B. Le retrait de la liste leur appartient et on le regrette. **Gilles** lit le mail de relance publié sur Framavox quelques heures avant la réunion que voici : :::info Cher·es tou·tes, Cela fait maintenant plusieurs semaines que notre espace de discussion est parasité par des mails hors de propos, voire des invectives. Ces malheureux échanges ont conduit certain·es des membres les plus actifs·ves et les plus impliqué·es dans notre travail commun à se retirer, ce qui est réellement regrettable. Ensemble, nous nous devons de redonner à cette liste de diffusion sa vocation première : permettre à des enseignant·es et des chercheur·ses de construire des réflexions et des actions, afin d'intervenir collectivement dans l'espace public, d'abord et avant tout dans le cadre du soulèvement des Gilets jaunes. Cela a toujours un sens aujourd'hui, comme cela en avait un au début de l'année 2019 quand le collectif a commencé à se constituer. Il est toujours nécessaire de mettre nos savoirs et nos savoir-faire en commun pour tenter de porter une parole audible dans un univers médiatique cacophonique et bien souvent odieux. Nous sommes, de plus, des citoyen·nes mobilisé·es comme tant d'autres : nous ne cherchons pas à agir depuis une position de surplomb, de commentateur·rice, de "penseur·se" ou d'éclaireur·e du mouvement, mais bien à agir en son sein, dans le respect des convictions de chacun·e et sur une base commune de réflexion sociale, de lutte contre le néolibéralisme, le racisme sous toutes ses formes et les inégalités sociales - en particulier celles forgées au sein de notre système éducatif. La liste ne constitue pas un canal pour rallier des personnes à sa ligne ou un ring pour polémiquer, mais bien un medium pour agir ensemble, avec nos outils spécifiques, depuis nos positions dans la société et sur nos lieux de travail. Réfléchissons donc à nos objectifs. Cette liste, et plus largement ce collectif, ne devraient-ils revenir pas à leurs origines et aux raisons pour lesquelles ces espaces ont été créés ? En ce sens, voici quelques propositions : - poursuivre les actions dans le cadre du mouvement Gilet Jaune, et continuer la coproduction de savoirs sur ce mouvement - réfléchir aux rôles politiques des enseignant·es et des chercheur·ses que nous sommes, et à ceux que nous pouvons avoir en tant que collectif - prendre à nouveau au sérieux la délibération en notre sein et l'élaboration de réflexions collectives - porter un discours résolument engagé et radicalement critique dans l'espace public Ce ne sont que des propositions qui appellent discussion et doivent être enrichies. Nous sommes bien plus efficaces dans les quelques actions que nous menons à bien que dans certaines polémiques énergivores et qui n'ont pas lieu d'être. D'un point de vue organisationnel par ailleurs, il est indispensable que certaines tâches "tournent", comme celle par exemple de "secrétaire de facto" assumée actuellement par Gilles. Ainsi, pour le fonctionnement démocratique du groupe, cette fonction devrait être soumise à un roulement régulier. En ce qui concerne le cadre de travail, nous proposons que tous les mails échangés sur la liste soient désormais en rapport direct avec les objectifs que nous nous serons fixés. Les questions informationnelles devraient plutôt être portées sur le Framavox. Nous proposons également d'instaurer une réunion hebdomadaire, sur un horaire variable décidé en fin de chaque réunion afin que le plus grand nombre puisse régulièrement participer "physiquement" aux échanges et travaux. ::: **Marc Moreigne**. Ouvrir le mail aux artistes et aux étudiants **Maurizio** G. Comme je viens d'écrire dans un message que j'ai envoyé il y a une heure (désolé, je n'ai pas pu répondre plus tôt aux différents messages envoyés en réaction) je crois qu'il s'agit d'une tempête dans un verre d’eau. D'ailleurs il serait peut-être bien de lire aussi le texte de mon mail. Ça m'éviterait de me répéter... Mais, synthétiquement, j'ai écrit que notre message ne signifiait absolument pas que nous voulons quitter le groupe. Abandonner une liste qui pose problème ce n’est pas abandonner le collectif, on l’a dit à plusieurs reprises. Bien au contraire. Pour nous le collectif reste important dans la mesure on essaye de réfléchir davantage à sa nature et à la manière dont nous pourrions contribuer à la diffusion d’un mouvement dans lequel nous continuons à croire en espérant qu’il puisse se renforcer et s’élargir davantage. Notre interrogation portait et porte encore sur l’usage et la pertinence de notre liste; sur ce qu’elle est devenue au cours des derniers mois. J'ai donné déjà plusieurs éléments au cours de l'AG du 18 dernier. Je pourrais rajouter que, par exemple, parmi les collègues de l’EHESS nous avons quelques 38 inscrits mais seulement 8 ont participé à nos réunions et une dizaine au maximum ont réagit sur la liste. Qu'attendent du collectif ces collègues muets ? Qu’attendent les 300 inscrits restés dans la liste mais qui n'ont jamais pris la parole ? Malgré les quelques échanges qui ont certainement pu être intéressants, je pense que la masse des mails a contribué à bloquer la prise de parole et une libre expression de la plupart des inscrits à la liste. C'est pourquoi j'avais proposé, début septembre, de passer sur Framavox. Ce qui aurait permis de séparer la masse d'informations "militantes" des questions propres à la nature du collectif et des activités que nous voulons développer. Framavox n'a pas rencontré beaucoup de succès. Mais la question demeure. Et nous croyons qu’à minima il faudrait essayer de diffuser un vrai sondage afin de nous aider à mieux fonctionner. Un tel sondage serait aussi utile pour comprendre, si dans ce cadre, la reconduction pure et simple de la liste, suggérée par Gilles et Véronique serait légitime et justifiée. **Gilles** : les gens qui ne quittent pas la liste la légitiment et il n’est pas nécessaire de les consulter par ailleurs. Ceux qui veulent quitter quittent. **Céliane** S. J’ai l’impression qu’il y a deux niveaux de liste et quand je me suis abonnée j’en ai reçu 7 d’un coup… **Olivier** L. Evoque son expérience de la "coordination nationale des université". Liste qui depuis 10 ans est une forme qui a pu servir à des tas de choses à part réunir une nouvelle coordination des universités : défense de Bernard Mezzadri à Avignon, défense de Cédric Herrou en vallée de la Roya, pression sur le ministère de l'enseignement supérieur pour ne pas appliquer les décrets de modulation de service relatifs à la LRUH (jamais appliqués à ce jour), proposition d'une université alternative suite à Parcoursup. Il évoque aussi la liste DiffParis 1 qui a récemment servi pour une campagne de retrait (réussie) d'une formation islamophobe concernant les "signaux faibles" à Paris 1. Que des gens interviennent, se retirent, reviennent, se confrontent, que certain.es ne s'expriment jamais est courant sur toutes sortes de listes de diffusion. Il n'y a pas lieu de s'en offusquer puisque "polémique" vient de "polemos" qui désigne la guerre dont Emmanuel Levinas écrit qu'elle "détruit l'identité du même". La guerre des mots, c'est le risque inévitable qu'on prend quand on rencontre l'autre. Pour ce qui est des "agents de Poutine" infiltrés sur cette liste, Olivier Long se pose la question de savoir pourquoi Poutine s'intéresse à nous. **Marie-Thérèse** (de Lyon). Ce n'est pas tant la liste qui pose problème que ce qu'elle révèle. Alors que je posais la question cet été du type d'informations qui avaient ou non leur place sur cette liste on ne m'a pas laissé d'autres alternatives que de l'accepter ou de la quitter avec des insinuations sur le niveau de mon engagement. Or les problèmes que je voulais soulever sans succès ni débat étaient les suivants : ce collectif est il parisien ou a-t'il une portée plus nationale ? Souhaite-t'il s'élargir au delà de cercles militants et d'interconnaissance ? et donc quels types d'informations faire circuler et quels débats initier ? Et enfin quels sont les objectifs de ce collectif en rapport avec le mouvement des gilets jaunes ? **Christiane** G. Pourquoi toutes ces polémiques ? Suis d’accord avec Olivier. Souhaite pouvoir échanger et c’est pour moi une richesse que cette liste. Attend beaucoup sur le décryptage du mouvement des GJ. **Patrick** F. Je ne me désinscris jamais des listes dont je suis abonné. Toutes les listes non modérées tournent comme celle-ci. Mais Drewski … Si on veut garder les 300 personnes, il faut modérer la liste. On l’a mise en œuvre sur une liste écolo et ça marche bien. **Véronique** On reproche parfois à XR de bcp parler d’organisation mais au moins ils agissent…. Très bien de modérer mais il faut que ce rôle tourne (ce ne peut être toujours les mêmes qui assurent). Un des pb est qu’on ne sait pas très bien qui sont les abonné.e.s à la liste. Ça ne me dérange pas mais on n’est pas nombreux à lancer des actions. Christian, ADP, Maurizio, séance cinéma… Il faudrait également discuter rapidement de l'organisation des tâchespratiques style "secrétariat" dans le groupe. Je l'ai fait pendant des mois, c'est Gilles qui veut bien le faire maintenant (merci beaucoup) mais il ne va pas le faire pendant des mois. Il faut qu'on se mette d'accord sur comment répartir et faire tourner ces tâches pour libérer un peu de disponibilité d'esprit à celles et ceux qui s'y collent. Souhaite qu’on arrête les discussions au sujet de la liste. **Marc Moreigne**. Le tête-à-tête entre Fischer et Drewski empêche-t-il les autres de s’exprimer ? Je ne le pense pas pour ma part. **Maurizio** G., Encore une fois, pour moi la vraie question à laquelle nous sommes confronté.e.s est celle de la nature de notre collectif et de notre rôle dans le mouvement. Quand j'ai proposé, en janvier dernier, d'écrire la tribune *Nous sommes tou.te.s des gilets jaunes*, je l'avais fait aussi dans l'espoir de provoquer une dynamique à l’intérieur de notre milieu qui tenait une posture plus que négative vis à vis du mouvement. En novembre 2018, quand j'avais écrit en défense des GJ, j'avais le sentiment qu'on me regardait comme un fou. Mon idée était - et l'est encore - qu'il fallait absolument que le plus grand nombre de gens appartenant à toutes les couches sociales prennent la parole pour dire qu'ils et elles se reconnaissaient aussi dans ce mouvement et ils en faisaient partie.Je pensais et je pense encore que la justification plus importante de l'existence d'un collectif GJ de l'ESR est dans le fait de dire que des personnes ayant un salaire confortable et souvent classées dans les déciles supérieures des revenus, se sentaient aussi attaqués par les politiques néolibérales. Car c'est bien l'ensemble de la société qui a été et est progressivement privée de ses biens communs, de ses services, de ses ressources et de son humanité.  :::info (.. émoi d'une partie des présents qui tiennent à souligner que l'ensemble de l'ESR n'a pas un salaire confortable) ::: Personnellement je pense que le mouvement des GJ pourra progresser uniquement s'il arrive à faire passer plus largement le message que c'est l'ensemble des biens sociaux qui sont en train d'être pillés et transférés vers la finance et de l'actionnariat.  Et dans cette optique, une prise de parole plus claire et plus larges du milieu de la recherche et de l'enseignement, serait fondamentale. Mais c'est vrai que sur cette question nous n'avons jamais eu une vraie réflexion approfondie.   Quel serait le rôle principal des GJ de l’ESR ? Il faudrait en discuter. Je croyais que cela était clair quand on a lancé la première tribune, en janvier, puis encore celle du mois de mai  « *Nous accusons !* ». Mais évidemment ça ne l'est pas et au fait nous sommes confrontés à une myriade de messages dont la teneur est souvent liée à des prises de positions issues de différents groupes militants qui obscurcissent l'horizon du collectif et que nous ne savons pas comment trier et à partir de quels règles... Est-ce qu’on aurait pu et on aurait dû couper (censurer ?) plus violemment des mails qui ne semblaient pas rentrer dans le cadre de l'ESR? Un membre a envoyé 95 mails en août. En même temps, je recevais plusieurs messages de membres de la liste qui me demandaient de bloquer ses messages. On ne l'a pas bloqué. J'ai toujours répondu à qui le demandait, qu'on n'avait pas des critères nous permettant de le faire. La question reste ouverte et, d'après moi, on peut la trancher seulement en séparant très clairement les zones d'informations (sur les activités d'autres groupes, sur ce qui se passe ailleurs, etc.) des échanges propres aux activités du groupe.On revient donc à la question de Framavox. Qui n'est peut-être pas la meilleure solution mais qui permet de séparer les différentes zones d'échange. Dans cette optique j'avais préparé trois dossiers qui restent tout le temps en têtes de la première page, dans lesquels les membres peuvent poster des Informations sur les mouvements en France, à l'étranger, ainsi que sur les principales actions du collectif en cours.. Force est de constater que ça n'a pas marché. Pourtant ça pourrait être la solution.  Comme j'ai écrit dans mon dernier message, je travaille  maintenant sur deux projets et on pourrait donc ouvrir un ou deux dossier dédiés à ces projets. De même pour d'autres projets. C'est d'ailleurs ce que Christian a fait pour son projet d'activité autour des signatures pour l'ADP. Et Odile pourrait continuer à nos donner ses informations, toujours très intéressantes, en les postant dans le dossier sur les infos. Je voudrais d'ailleurs saisir l'occasion pour la remercier de m'avoir fait connaître l'existence de Black-Rock, un organisme financier incroyablement dangereux et négatif que je ne connaissais pas. **Gilles** propose de lancer un sondage sur l’opportunité de la modération. **Céliane**. Le lien explicite ??? **Maurizio** je repète ne pas être d’accord avec la modération. A la limite, si vous voulez absolumment garder la liste, il faudrait ouvrir en complément une liste parallèle dédiée à la diffusion d’informations où on mettrait tout ce qu’on veut. Y compris si certains y tiennent, la propagande en faveur d’Assad et de Poutine. **Gilles** on envoie le texte sur la liste avec les modifs proposées par Marc. Ca va à tout le monde ? ### :+1: Débat sur la modération... **Gilles** M. il ne s’agit pas de mettre en place des censeurs mais des modérateurs qui invitent le cas échéant les gens à retravailler leur mail pour qu’il y ait un lien explicite avec les GJ (et à ne pas trop en envoyer…) **Marnix** D.-V. Au risque de se répéter : a sa place sur la liste ce qui concerne les GJ. Les GJ parlent de Hong Kong, ça a sa place. Les insurgés du Soudan mettent des GJ, ça a sa place. Pour le reste, c’est hors sujet si cela ne traite pas des GJ. Autre chose : dire qu’il n’y a pas eu de débat sur la liste revient à oublier la discussion sur la possibilité d’une jonction avec les environnementalistes comme XR que d’aucuns voulaient envoyer au plot sans autre forme de procès. En outre se plaindre du manque de profondeur de vue des débats est un peu méprisant pour ceux qui ont participé à ces débats. Personne n’empêche quiconque de mener des débats de plus haute volée. Autre point. Le faible nombre de personnes qui participent aux débats est un trait commun de toutes les listes de diffusion auxquelles je suis abonné. Et les désabonnements sont aussi d’une grande banalité. C’est la vie des listes surtout quand l’abonnement est gratuit. Enfin, dernier point sur notre réflexion sur l’ESR. On a commencé à en parler mais il était évident qu’une critique radicale de notre situation remettrait en cause bien des situations acquises et parfois des privilèges. Il était très rapidement apparu qu’il n’y avait pas d’accord sur le statut du CNRS / rapport aux EC, sur le devenir souhaitable des classes préparatoires, des écoles d’ingénieur, etc. **Gilles** Donc pour finir, on envoie le texte et un questionnaire, ok ? [validé] :::info :ok: Décision est prise de programmer une demi-journée sur le système ESR. Pour la deuxième quinzaine de janvier. ::: ### :+1: Ce que Gilles doit porter à l’ADA de Montpellier **Patrick** F. formule deux propositions distinctes ; - un Acte spécifique sur l'enseignement de la maternelle à l'Université : un acte c'est à dire un samedi de manif sur ce thème - Une ADA spécifique sur le thème de l'éducation et des savoirs partagés pouvant être porté par les Gilets jaunes est, carré rouge, stylos rouges, université des enseignants ...; **Maurizio** A ce propos, je voudrais insister sur l’importance d'évoquer la **nécessité de distinguer entre savoir et enseignement**. Je m'étais déjà exprimé dans la dernière AG sur ce point. Mais je pense qu’il est important, dans tout débat lié à l'enseignement, de bien savoir tenir en compte du fait que, depuis le XIXe siècle, on enseigne des matières, des théories et des vérités qui sont filtrées par les visions et les idéologies des individus et des groupes qui contrôlent les lieux qui légitiment les savoirs acceptés. Cela s’appelle des pratiques de pouvoir. Or, le savoir d’une société est beaucoup plus large, beaucoup plus complexe et contradictoire de ce que nous avons pris l'habitude de voir enseigné et être transmis dans les établissements de l'éducation nationale, de l’école primaire à l’université. Poser d'abord la question du savoir implique de réfléchir sur les  nombreux angles morts de l'histoire de la science. Ce qui signifie aussi la nécessité de déconstruire le contenu idéologique de la presque totalité des modèles et mesures sur lesquelles se fondent les théories des « experts » qui nous gouvernent et qui sont imposés  dans les programmes d'enseignement et de recherche. Cela vaut très clairement pour la presque totalité des sciences économiques mais aussi, bien sûr, dans ce qui est nommé sciences humaines. **Marc M**. Développement collectif de l’esprit collectif. Se battre comme des chiens pour effacer le clivage entre gagner sa vie et le champ de la vie symbolique et l’imaginaire. **?** : Il y a des pays où le lycée technique n’est pas une voie de garage mais des passerelles sont possibles avec l’université. ### :+1: Question des liens entre le mouvement écolo et les GJ. Lors de notre prochaine réunion discussion sur ce dernier point après un exposé de Patrick F. sur le positionnement des divers mouvements écolos et les GJ. **Marnix** D.V. L’invraisemblable violences contre les pompiers lors ce leur dernière manif n’a pas été traitée sur la liste. Idem pour le G7 de Biarritz. La question avait été programmée en septembre mais n’avait pas été traitée faute de temps. Pourtant un vaste territoire quadrillé par 14 000 policiers pendant plusieurs jours, ce n’est pas ordinaire… **Marie-Thérèse**: à Lyon, les groupes gilets jaunes ont fait le tour des casernes de pompiers de la ville. Soutien aussi aux cheminots qui exerçaient leur droit de retrait en collaboration avec des syndicalistes cheminots qui participent au mouvement des gilets jaunes depuis le début. ### :+1: ADP Paris VIII 15 à 20 signatures. Le NPA était là (mais à l'étage inférieur et pas avec nous !). Sophie et Marie-Thérèse rédigent un compte rendu de ce qui s’est fait à cette occasion pour la liste. ### :+1: Ne faut-il pas faire une campagne pour dénoncer la chape de plomb des médias ? ### :+1: Discussion sur les heures de réunion des GJ de l’ESR. Consensus pour que ces heures changent à chaque fois. ### :100: Collecte pour financer le voyage de Gilles à Montpellier qui rapporte environ 100 euros